Evolution prévisible du mail : Différence entre versions

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L'internet a une architecture d'échanges de datagrammes de bout en bout. Ces datagrammes sont des télégrammes commutés par les "InterneteXchanges" (IX) d'une manière optimisée pour être rapide. Ce sont des messages de taille réduite (exemple : SMS) avec une entête fixe dans les quels sont saucissonnés les flux échangés. Leur protocole est l'internet protocole "IP". Il faut les remettre en ordre (et pour cela demander parfois leur renvoi) à l'arrivée pour assurer la reconstruction des échanges.  C'est le rôle de "TCP".
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L'internet a une architecture d'échanges de datagrammes de bout en bout. Ces datagrammes sont des télégrammes commutés par les "InterneteXchanges" (IX) d'une manière optimisée pour être rapide. Ce sont des messages de taille réduite (exemple : SMS) avec une entête fixe dans les quels sont saucissonnés des segments des flux échangés. Leur protocole est l'"internet protocol" ou "IP". A l'arrivée, il faut les trier et les remettre en ordre (et pour cela, parfois, demander leur renvoi) pour assurer la reconstruction des échanges.  C'est le rôle du protocole "TCP".
  
 
La rapidité accrue du réseau au fil des années, et malgré l'accroissement du trafic, a permis d'assurer des liaisons pseudo-synchrone (sans délai apparent), y compris pour les pages web et leurs photos. Il en est maintenant de même pour les messages mails, malgré leur nombre, qui sont de taille moyenne comparable à ces pages web. Il est donc possible de considérer des échanges de messages e-mails là où il semblait que seul le web pouvait faire l'affaire.
 
La rapidité accrue du réseau au fil des années, et malgré l'accroissement du trafic, a permis d'assurer des liaisons pseudo-synchrone (sans délai apparent), y compris pour les pages web et leurs photos. Il en est maintenant de même pour les messages mails, malgré leur nombre, qui sont de taille moyenne comparable à ces pages web. Il est donc possible de considérer des échanges de messages e-mails là où il semblait que seul le web pouvait faire l'affaire.

Version actuelle en date du 29 novembre 2020 à 17:34

Cette page est un "perférent" : un contenu informationnel identifié par son nom, non lié à un support lui conférant une rédaction, une date et une signature certaines. Il s'agit d'un moyen d'échange nouveau, résultant des capacités du numérique et des usages de l'époque. Son propos est de présenter une information pertinente lors des modifications datées, qui devraient être indiquées lorsqu'on voudra préciser sa citation. Dans le contexte d'un blik il est, en outre, la possible compilation des apports de sa liste ou page de discussion par les membres de la promo.


Contenu en cours de rédaction ...

L'internet a une architecture d'échanges de datagrammes de bout en bout. Ces datagrammes sont des télégrammes commutés par les "InterneteXchanges" (IX) d'une manière optimisée pour être rapide. Ce sont des messages de taille réduite (exemple : SMS) avec une entête fixe dans les quels sont saucissonnés des segments des flux échangés. Leur protocole est l'"internet protocol" ou "IP". A l'arrivée, il faut les trier et les remettre en ordre (et pour cela, parfois, demander leur renvoi) pour assurer la reconstruction des échanges. C'est le rôle du protocole "TCP".

La rapidité accrue du réseau au fil des années, et malgré l'accroissement du trafic, a permis d'assurer des liaisons pseudo-synchrone (sans délai apparent), y compris pour les pages web et leurs photos. Il en est maintenant de même pour les messages mails, malgré leur nombre, qui sont de taille moyenne comparable à ces pages web. Il est donc possible de considérer des échanges de messages e-mails là où il semblait que seul le web pouvait faire l'affaire.

Or, le mail est un objet structuré (entête message, texte, annexes) dont l'on peut étendre la structure d'accord commun entre l'envoyeur et le receveur. Ceci est en train de se faire notamment sous le format JSON. Dès lors l'envoi de mails correspond au chargement dans une, ou plusieurs bases de données distantes. On va les appeler "mail-lakes", et chacun va pouvoir les traiter localement. Pour les classer, détruire les pourriels, réduire l'enregistrement des mêmes fichiers images (logos, par exemple), susciter des alertes, suggérer des réponses, activer des applications, prendre des notes (mails à soi-même), tenir à jour des bases d'images locales ou distantes personnelles, faire des copies ciblées, nourrir ses référentiels numériques, réagir à certaines nouvelles, marquer automatiquement son intérêt, traduire les textes reçus, les mettre en contexte local ou horaire, etc., etc.

Une nouveauté réclamée aux développeurs de listes (nous utilisons Mailman et nous réclamons la possibilité d'une gestion multidistribution pour un même groupe d'abonnés, où chacun pourrait d'un simple click s'abonner ou se retirer d'un canal de débats.